L’intérêt d’une housse de voiture

En intérieur

Même dans un garage, la poussière peut s’accumuler sur la voiture. La housse permet de garder la carrosserie propre. Par ailleurs, la housse agit comme une barrière supplémentaire contre les petits chocs accidentels pouvant survenir dans un garage encombré.

L’humidité dans un garage mal isolé favorise l’apparition de moisissures : la housse aide à garder la voiture au sec. Celle-ci réduit, en outre, les variations de température qui sont susceptibles d’endommager la peinture et les joints.

A l’extérieur

La housse offre à la voiture une protection contre les éléments, notamment, le soleil, la pluie, la neige, et même la grêle dans certains cas. Les intempéries et le mauvais temps abiment la peinture et les finitions du véhicule au fil du temps. Voilà de quoi vous motiver à acheter sur shopforcovers.com une housse en ligne. La sève des arbres et les déjections d’oiseaux, non seulement salissent la carrosserie de la voiture, mais, en plus, sur le long terme, ils causent des dommages à la peinture s’ils ne sont pas nettoyés rapidement. En clair, la housse aide à garder la peinture en excellent état.

En intérieur et à l’extérieur

Une housse opaque extrait la voiture des regards indiscrets même dans un garage : il y a donc moins de risque de vol. Enfin, en protégeant méticuleusement votre véhicule d’éventuels dommages, vous préservez son apparence et parvenez à conserver sa valeur.

Les caractéristiques de la housse parfaite

Une housse élastique épouse parfaitement les formes de la voiture, sans laisser d’espace par lesquelles la poussière et l’humidité pourraient s’infiltrer. Elle est aussi plus facile à mettre et à enlever. En plus, un ajustement serré empêche la housse de s’envoler sous l’effet du vent.

Une housse antistatique repousse la poussière et les particules fines qui sont naturellement attirées par le champ électrostatique. La voiture reste propre, même lorsque vous ne l’utilisez pas durant une longue période. D’autre part, un traitement antisalissure empêche la saleté et les taches de s’incruster dans le tissu de la housse. Le nettoyage est facile et la housse conserve son aspect neuf très longtemps.

Une housse imperméable protège la voiture de la pluie, de la neige et de l’humidité. Enfin, en plus de son caractère imperméable, une bonne housse doit être respirante. Cela permet à l’air de circuler et à l’humidité de s’évaporer. Il est impossible qu’il y ait formation de moisissures ou de rouille sur la voiture.

À quel moment vous devez expertiser votre véhicule ?

Une expertise est une intervention obligatoire après un sinistre sur votre voiture. Cette intervention permet généralement de vérifier l’ampleur des dégâts. Ainsi, vous n’aurez aucun mal à déterminer le budget nécessaire pour les réparations. Mis à part cela, une expertise peut devenir obligatoire en cas de litige devant un tribunal. Le juge en aura besoin pour prendre une décision en cas de désaccord. Notez aussi qu’une expertise peut être facultative dans certains cas. Cela peut par exemple se faire en cas de constatation de vice après l’achat d’une voiture. Vous pouvez aussi demander une contre-expertise si vous avez des doutes sur le résultat de la dernière expertise.

Déroulement d’une expertise obligatoire

Pour cette opération, votre compagnie d’assurance va engager un expert faisant partie du cabinet précis. L’entreprise choisie doit être inscrite sur la liste nationale des experts en automobile. Le professionnel fera le déplacement sur l’endroit où la voiture est immobilisée. L’expert ne laissera rien au hasard pendant la constatation des dommages. Il rédigera ensuite un compte rendu en mentionnant les conditions de l’accident. L’expert ajoutera aussi la nature ainsi que la gravité des dommages. Il y rédigera en même temps l’évaluation des coûts ainsi que les conditions nécessaires pour les réparations avec les pièces à remplacer. L’expert vous enverra un exemplaire du rapport, mais aussi à votre compagnie d’assurance.

Comment faire une expertise facultative ?

Pour l’expertise facultative, vous devez agir par vos propres moyens pour engager un expert. L’intervention est principalement recommandée avant d’acheter une voiture. L’intervention nécessite alors la vérification de l’assurance responsabilité civile. En effet, certains contrats affichent une garantie qui couvre les honoraires d’un expert en expertise. Il suffit de contacter votre assureur pour connaitre les démarches à suivre. Vous avez la possibilité d’engager un expert agréé qui se trouve dans votre département. Vous n’aurez qu’à consulter la liste nationale en ligne pour trouver le professionnel qu’il vous faut. Enfin, il vous est conseillé de garder le rapport d’expertise au bon endroit.

Reprogrammation du moteur

La reprogrammation du moteur est une option considérable avec des avantages convaincants. En effet, elle permet d’augmenter la puissance motrice. Cela vous permettra aussi d’améliorer le comportement du véhicule. Cette méthode vous permettra même d’économiser du carburant. À noter que la reprogrammation ne vous donnera plus de chevaux dans le moteur. Concernant la réalisation, vous pouvez reprogrammer en premier lieu le calculateur du véhicule. Cela ne demande aucune modification sur les pièces mécaniques. Sinon, vous pouvez toujours ajouter d’autres pièces comme une admission d’air.

L’ajout d’un turbo préparé

Certes, votre voiture est déjà équipée d’un système de turbocompresseur. Mais, cela ne vous empêchera pas de le booster. Il suffit d’ajouter un turbo préparé qui sera sur mesure. Ce type de turbo est doté d’une roue de compresseur qui est de plus grande taille. Des modifications spéciales sont apportées sur cette pièce pour augmenter la puissance du véhicule. D’ailleurs, vous allez profiter d’un équilibrage pour obtenir un confort de conduite avec la voiture. À noter que le turbo préparé permet d’obtenir jusqu’à 80 chevaux.

La pose d’un boîtier additionnel

Un boîtier additionnel intervient directement au niveau du capteur de la voiture. Vous n’aurez aucun mal à assurer les paramétrages qui vous conviennent. Le boîtier additionnel permet généralement d’augmenter le couple ainsi que la puissance du véhicule. Le changement se verra particulièrement sur la reprise d’accélération. Cela se traduit en principe par la rapidité de déclenchement du turbocompresseur. Vous allez pouvoir profiter d’une conduite plus avantageuse tout en économisant votre carburant. De plus, vous n’êtes pas obligé de reconfigurer le boîtier réalisé par le constructeur.

Un suppresseur de catalyseur et les pneus

Le suppresseur de catalyseur sépare le collecteur d’échappement et le convertisseur catalytique. Cette pièce se pose rapidement pour augmenter la puissance du véhicule. Notez que vous pouvez installer le suppresseur par vous-même si vous le souhaitez. Sinon, l’intervention d’un professionnel est plus avantageuse. Enfin, il ne faut pas hésiter à changer les pneus pour améliorer le comportement du véhicule. Cela vous garantira certainement une meilleure adhérence. Un garagiste professionnel peut vous conseiller sur le choix de type de pneus.

Ne pas connaître la signification des panneaux de signalisation

L’une des erreurs les plus courantes lors de l’examen du Code de la route est de ne pas connaître ou de mal interpréter les panneaux de signalisation. En consultant des ressources en ligne comme https://www.stych.fr/code-de-la-route, vous pouvez accéder à des informations complètes sur les panneaux et leur signification. Il est important de se familiariser avec tous les panneaux, car une mauvaise compréhension peut entraîner des erreurs coûteuses lors de l’examen.
Conseil : Révisez régulièrement les panneaux de signalisation et assurez-vous de bien les connaître. Utilisez des supports pédagogiques, tels que des fiches ou des applications, pour vous aider dans vos révisions.

Négliger les règles de priorité

Les règles de priorité sont essentielles pour garantir une circulation fluide et sécurisée. De nombreux candidats commettent des erreurs lorsqu’il s’agit de céder le passage, de s’arrêter à un feu rouge ou de respecter les priorités à droite. La sécurité routière est primordiale, et ces règles en sont une composante importante.
Conseil : Prenez le temps d’étudier et de comprendre les règles de priorité. Faites des exercices pratiques pour mieux les intégrer et visualisez des situations réelles pour les appliquer correctement.

Manquer de vigilance sur les limitations de vitesse

Respecter les limitations de vitesse est crucial pour assurer la sécurité sur la route. Certains candidats ont tendance à oublier de vérifier régulièrement leur compteur de vitesse ou à ne pas adapter leur vitesse aux conditions de circulation.
Conseil : Soyez attentif aux panneaux indiquant les limitations de vitesse et vérifiez régulièrement votre compteur. Adaptez votre vitesse aux conditions de circulation et aux conditions météorologiques.

Oublier les règles de stationnement et d’arrêt

Les erreurs liées au stationnement et à l’arrêt sont fréquentes lors de l’examen du Code de la route. Il est important de connaître les règles spécifiques concernant les zones de stationnement, les distances à respecter et les endroits où il est interdit de s’arrêter.
Conseil : Révisez les règles de stationnement et d’arrêt et mettez-les en pratique lors de vos leçons de conduite. Gardez en tête les distances à respecter et les zones où le stationnement est interdit.

Ne pas maîtriser les gestes de premier secours

En cas d’accident, connaître les gestes de premier secours peut sauver des vies. L’examen du Code de la route inclut des questions sur les mesures à prendre en cas d’accident, et il est essentiel de les maîtriser.
Conseil : Apprenez les gestes de premier secours et les protocoles d’intervention en cas d’accident. Vous pouvez suivre des formations spécifiques pour vous familiariser avec ces compétences indispensables.

Ignorer les règles relatives aux équipements de sécurité

Les équipements de sécurité jouent un rôle crucial dans la prévention des accidents et la protection des usagers de la route. Il est fréquent que les candidats ne connaissent pas les règles concernant les équipements obligatoires, tels que les gilets réfléchissants, les triangles de signalisation et les dispositifs de retenue pour enfants.
Conseil : Étudiez les équipements de sécurité obligatoires et leurs conditions d’utilisation. Assurez-vous de connaître les sanctions encourues en cas de non-respect de ces règles.

Ne pas prendre en compte les usagers vulnérables

Les piétons, les cyclistes et les personnes à mobilité réduite sont des usagers vulnérables de la route. L’examen du Code de la route évalue la capacité des candidats à prendre en compte ces usagers pour garantir leur sécurité. Il est donc crucial de maîtriser les différentes thématiques liées à leur protection.
Conseil : Apprenez à anticiper et à respecter les besoins des usagers vulnérables. Soyez attentif à leur présence sur la route et adaptez votre conduite en conséquence.

Manquer de concentration pendant l’examen

La concentration est primordiale lors de l’examen du Code de la route. Les candidats peuvent facilement commettre des erreurs en raison du stress ou de la distraction.
Conseil : Préparez-vous mentalement pour l’examen en pratiquant des techniques de relaxation et de gestion du stress. Le jour de l’examen, assurez-vous d’arriver à l’heure, détendu et concentré.

L’examen du Code de la route est une étape indispensable dans l’obtention de votre permis de conduire. En connaissant les erreurs les plus courantes et en suivant les conseils prodigués dans cet article, vous augmenterez vos chances de réussir l’examen du premier coup.
Souvenez-vous que la préparation, la concentration et la compréhension des règles sont essentielles pour réussir.

Loi montagne : réglementation relative à l’équipement des voitures en hiver

La loi Montagne, dite aussi loi de modernisation, de développement et de protection des territoires de montagne, est une réglementation qui s’applique sur le territoire français entre le 1er novembre et le 31 mars de chaque année. Il s’agit d’une loi dont l’objectif est de sécuriser les usagers des routes montagneuses pendant les périodes de froid. Il est à rappeler que chaque année, de nombreuses voitures sont victimes d’accidents en hiver à cause des routes glissantes, résultant de la très basse température.

48 départements situés dans les massifs français sont concernés par les dispositions de la loi montagne. La liste des communes concernées pour chaque département, quant à elle, est arrêtée par le préfet à l’échelle de chaque massif.

Pour que tous les conducteurs puissent connaître les zones auxquelles s’applique la loi Montagne, des panneaux de signalisation sont installés à l’entrée de chaque zone concernée. Tous les véhicules à quatre roues sont soumis à cette obligation d’équipement hivernal, notamment de pneu neige, qu’il s’agisse d’utilitaires, de véhicules légers ou de poids lourds.

Les équipements obligatoires pour voiture en hiver

Tout conducteur résidant dans un département montagneux ou traversant de telles zones doit disposer d’un minimum d’équipement obligatoire mentionné par la loi Montagne. Les conducteurs ont le choix entre avoir à disposition dans leur coffre, des dispositifs antidérapants comme des chaînes à neige métalliques par exemple ou des chaussettes à neige, et équiper leur véhicule de 4 pneus d’hiver qui seront installés sur au moins deux roues de chaque essieu. Les chaînes métalliques sont des dispositifs de protection très efficaces et qui supportent les routes enneigées et verglacées.

Les chaussettes à neige, quant à elles, sont un peu moins résistantes, mais présentent cependant l’avantage d’être moins coûteuses et faciles à monter. En ce qui concerne les pneus d’hiver, ils offrent une certaine facilité de freinage et de traction et ont une tenue de route avérée, même pour les plus basses températures (même en dessous de 7° C).

Toutefois, pour être en conformité avec les normes exigées par la réglementation en vigueur, les pneus d’hiver doivent être homologués 3 PMSF (3 Peak Mountain Snowflake). Les pneus 4 saisons ayant cette homologation sont également admis.

Pourquoi bien équiper votre voiture de pneus d’hiver ?

L’équipement de voitures en régions montagneuses est avant tout utile pour des mesures de sécurité. Les pneus classiques ne supportent pas le froid, qu’il s’agisse de neige ou uniquement de basse température. Les pneus d’été durcissent par le froid, ce qui les rendent incapables de s’agripper. Ainsi, les pneus d’été, utilisés en hiver, présentent des risques d’accidents, dus à la dégradation du freinage et de fréquents dérapages de tête-à-queue.

Avec des pneus hiver, vous avez des distances de freinage optimales. Leur avantage est aussi qu’ils s’adaptent même à la saison sèche. En outre, la non-observation des dispositions de la loi Montagne, notamment la non-utilisation de chaînes ou de pneus d’hiver, exposent à une amende de 135 euros. Cette peine s’applique au conducteur et non au propriétaire de la voiture. Si les autorités le jugent nécessaire, elles pourront également immobiliser votre véhicule.

Fiat 500 d’occasion : dimensions et équipements

Avec une longueur de 3,55 mètres et une largeur de 1,62, elle est assez spacieuse car elle n’est homologuée que pour quatre passagers. Au lancement, la 500 proposait trois versions différentes appelées Pop, Lounge et Sport, toutes très distinctives : la première était plus simple mais pas plus pauvre, tandis que les deux autres étaient des modèles alternatifs, avec des prix alignés entre eux mais se distinguant par leurs accessoires, plus élégants sur la Lounge, qui comprenait même un toit en verre. L’esthétique et la personnalisation (plus d’un demi-million de combinaisons possibles en comptant la gamme, les couleurs, les options et les accessoires) étaient le véritable atout de la 500. Pour trouver la Fiat 500 d’occasion qui vous correspond, n’hésitez pas à solliciter des concessionnaires automobiles comme ByMyCar. Vous pouvez d’ores et déjà vous rendre sur ce site pour voir leur sélection.

Fiat 500 d’occasion : moteur et conduite

La Fiat 500 2007 est équipée d’un moteur et d’une traction avant, d’une suspension MacPherson à l’avant et d’un essieu de torsion à l’arrière. Cette combinaison est complétée par des moteurs 1.2 essence de 69 ch et 1.4 16V de 99 ch, et 1.3 Multijet turbodiesel de 75 ch. Ce dernier en particulier était le même que celui de la Panda 100 CV avec bouton Sport. Le 1.4 a connu un succès immédiat en combinaison avec le pack Sport, qui était souvent complété par des autocollants à damiers ou des bandes sur les panneaux latéraux supérieurs. Il existe encore un certain nombre d’exemplaires d’occasion disponibles pour moins mais comme il s’agit du moteur le mieux adapté aux longs trajets après le Diesel, il affiche rarement moins de 150 000 km. Le 1.2 et le 1.2 plus silencieux pouvaient également être équipés de la boîte de vitesses robotisée, qui, comme de nombreuses versions à embrayage unique, a suscité initialement la curiosité mais peu d’enthousiasme dans la pratique. Ce qui explique pourquoi il existe encore de nombreux modèles d’occasion, même avec un faible kilométrage.

Fiat 500 d’occasion : le relooking de 2015

En 2015, les 500 ont reçu le relooking tant attendu, ce dernier est notamment reconnaissable au nouveau design des phares avant à LED et surtout à ceux de l’arrière. Le constructeur affirme avoir modifié quelque 1 800 composants et surtout, avoir mis à jour le système d’infodivertissement avec les nouveaux systèmes Uconnect. Il convient également de mentionner les nombreuses éditions spéciales et limitées qui s’accordaient bien avec une voiture au caractère branché de la 500, notamment la Diesel, inspirée de la marque de vêtements du même nom, avec des couleurs spéciales dont le vert mat et des éléments en gris satiné. On peut aujourd’hui en trouver d’occasion avec des moteurs diesel pour un prix abordable. Pour ceux qui veulent se démarquer sans trop en faire, la Fiat 500 est idéale.

Nous espérons que notre article vous aura été utile sur le choix de votre Fiat 500 d’occasion.

Se rendre sur le site officiel du CPF

Avant de mettre en œuvre tout projet de financement du permis de conduire grâce au CPF, il faut disposer d’un compte sur la plateforme www.MonCompteFormation.gouv.fr/. Une fois cette formalité accomplie, il faudra se connecter à votre espace personnel « Mon Compte », afin de vous informer sur vos droits de paiement liés à cette formation.
Il faudra ensuite que le demandeur fasse le choix de l’auto-école dans laquelle il souhaite suivre sa formation et qu’il choisisse parmi les différentes offres disponibles. Il est important de signaler que le permis cpf est financé par le montant des droits de formation acquis par le demandeur au cours de sa carrière professionnelle. Ces droits peuvent aller de 500 euros à un plafond maximal de 5 000 euros.

Qui peut postuler à l’aide au financement ?

Cette opportunité qu’offre le CPF existe depuis 2017. Elle est ouverte à l’ensemble des travailleurs qui disposent d’un compte sur la plateforme de connexion. De plus, il faut disposer du montant minimal requis et ne pas avoir validé l’examen du permis de conduire.
Dans le but de débloquer les fonds nécessaires, les candidats doivent inclure dans leur demande une attestation sur l’honneur qui comporte les mentions suivantes :
Expliquer comment le fait d’obtenir le permis de conduire participera à la réalisation d’un projet professionnel
Expliquer que cette démarche participe également à la sécurisation du parcours professionnel
Le candidat ne fait pas l’objet de suspension de permis de conduire ou de toute interdiction de passer les épreuves.

De quoi est constitué le dossier de formation ?

Le dossier de formation au permis CPF est constitué d’un formulaire en ligne à remplir. Ce formulaire retrace les informations personnelles, la situation professionnelle et les informations sur l’employeur. En outre, vous devez également renseigner la session de formation au permis choisie, l’auto-école sélectionnée et le coût de la formation.
Une fois que vous avez inscrit toutes ces informations, votre dossier validé est transmis à l’OPCA. Il s’agit de l’organe qui se charge de procéder au versement des fonds auprès de l’auto-école que vous aurez choisie. Ce versement est effectué en fonction des heures que vous aurez préalablement acquis. Une fois que votre demande est acceptée, vous commencez à bénéficier de la formation proprement dite et vous participez à l’examen final qui valide les acquis.

Comment bénéficier du CPF ?

Il faut connaître le principe de fonctionnement dans un premier temps et suivre à la lettre les démarches pour profiter du CPF.

Le principe de fonctionnement

Le CPF s’accumule au cours des années de travail. Il s’agit d’une retenue à la source payée par votre employeur dans votre compte et qui vous sert pour réaliser de nombreuses formations. Une fois que vous avez fait votre insertion sur le marché de l’emploi, vous avez le droit au CPF.
Le fonctionnement du CPF est simple : vous cumulez 24 h de formation par année en tant que salarié. Une heure de CPF équivaut à 15€. Cela veut dire que même à l’âge de 15 ans, dès que vous signez votre premier contrat d’apprentissage, les heures de formation commencent à être cumulées. Dans l’absolu, une personne qui a déjà obtenu un emploi, et qui ne l’exerce plus, continue néanmoins de bénéficier du CPF pour son retour sur le marché de l’emploi.

La démarche

Certains penseront qu’il suffit de disposer d’un compte et de ne pas se servir des 24 heures de formation pour cumuler le crédit. En réalité, il convient avant tout de rechercher une formation qui servirait à une réorientation professionnelle ou vous permettre de faire une mise à niveau. Cette formation devra ensuite répondre aux critères d’éligibilité du CPF.
Il vous faut ensuite soumettre votre demande à votre employeur ou à un conseiller Pôle Emploi qui se chargera de donner son aval. Ceci permettra de valider votre inscription et d’enclencher la démarche auprès de l’OPCA.
Si vous le désirez, vous pouvez bénéficier d’une assistance pour vous aider dans votre orientation professionnelle. Le CPF, à travers cette démarche, se révèle être donc un excellent tremplin pour votre avenir professionnel.

Que devez-vous savoir avant d’acheter un véhicule d’occasion ?

Sachez qu’il existe certains points à connaître avant de passer à l’achat d’un véhicule déjà utilisé. Veillez à vérifier si tous les documents nécessaires à l’achat de la voiture sont complets. Vous devez connaître l’identité de la personne qui vous vend sa voiture. Renseignez-vous sur son adresse exacte. Pour être serein, vous devez vérifier l’identité et le certificat d’immatriculation du véhicule. Vous devez demander à votre vendeur le certificat de non-gage et le carnet d’entretien de la voiture mise en vente. Sachez que vous êtes protégé légalement en cas de vice caché. Quant au prix, la négociation est toujours possible. Par précaution, vous pouvez également coopérer avec votre assureur.

Avez-vous besoin d’un comparateur de fiches techniques pour acheter votre véhicule d’occasion ?

Le comparateur d’offres vous permet à coup sûr de saisir une occasion rare de véhicule d’occasion au meilleur prix. Souvent proposés par des mandataires ou concessionnaires avec les véhicules neufs, les véhicules usagés font l’objet d’un test d’achat opéré par le comparateur pour mieux orienter votre choix. Les fiches techniques, qui sont disponibles gratuitement, font état des caractéristiques générales et spécifiques de la voiture, ainsi que d’autres détails pouvant servir de critère.

Pourquoi choisir un comparateur pour l’achat d’un véhicule d’occasion ?

L’intérêt de vous fier à un comparateur est d’avoir sur un seul site un large choix de modèles avec leurs caractéristiques techniques. Vous trouverez sûrement votre véhicule d’occasion préféré après avoir visionné le catalogue et les offres de prix intéressantes.En général, tous les sites de comparateur Auto vous invitent à faire une recherche intelligente pour dénicher une bonne affaire. En outre, le comparateur facilite votre recherche en ligne en vous proposant des liens thématiques spécifiques comme la performance, les caractéristiques, la marque, la dimension, la consommation, l’année de sortie des voitures. Ainsi, vous pouvez tomber plus rapidement sur le véhicule d’occasion de votre choix en moins d’une minute au moyen de ce guide.

Où pouvez-vous acheter votre véhicule d’occasion ?

Actuellement, tout peut se faire sur internet. Toutefois, il faut faire très attention pour ne pas tomber sur les arnaques. Sachez que vous pouvez voir gratuitement en ligne les meilleures offres pour acheter une voiture d’occasion. En effet, vous pouvez vous renseigner si vous souhaitez avoir des références sur certains véhicules. Il existe aussi beaucoup de sites spécialisés dans la vente de voiture d’occasion. Vous pouvez même en trouver proposant des voitures d’occasion en provenance d’Europe, mais pas forcément d’origine française. Il vous suffit de faire votre choix suivant vos préférences et votre budget.

1. Trouver une bonne huile moteur

Avant de procéder à l’opération, vous devez choisir une bonne huile moteur. Cette dernière doit s’adapter à votre moteur. Pour cela, il est important de tenir compte des indices de viscosité, de la norme suivie ainsi que de la marque de l’huile moteur.

2. Bien positionner le véhicule

Pour bien vider le réservoir d’huile, il est essentiel de garer votre quatre-roues sur une surface plate. Si vous voulez accéder facilement au bouchon de vidange, le mieux est de placer votre voiture sur quatre chandelles.

3. Enlever le bouchon de vidange

Ici, vous avez besoin d’un bac récupérateur pour récupérer l’huile de vidange. Il faut mettre au préalable cet accessoire sous le bouchon de vidange avant de l’ouvrir. Munissez-vous d’une clé plate pour dévisser le bouchon. Comme précaution, il faut veiller à ne pas trop forcer le bouchon, car certains modèles d’autos ont un pas de vis inversé.

4. Collecter l’huile moteur usée

Bien évidemment, lorsque le bouchon est enlevé, l’huile va s’écouler. Pour bien vider le réservoir, il convient d’ouvrir le bouchon de remplissage d’huile moteur. Comme astuce, pour que l’huile s’écoule de manière fluide, faites tourner le moteur durant quelques minutes et puis éteignez-le.

5. Remplacer le filtre à l’huile

Certes, cela n’est pas obligatoire. Mais il est recommandé de remplacer le filtre à l’huile à chaque vidange. Cette bonne pratique aide à faire perdurer l’huile et le moteur. Quand le réservoir est vide, vous pouvez retirer l’ancien filtre. Après, vous devez lubrifier le nouveau joint du filtre à l’huile et placer le nouveau.

6. Remettre le bouchon de vidange

Une fois que l’opération de récupération de l’huile usée est terminée, remettez le bouton de vidange. Pour ne pas endommager le pas de vis, il est nécessaire de revisser à la main puis après avec une clé. Assurez-vous de ne pas trop resserrer le bouchon de vidange.

7. Remplir le réservoir avec de l’huile moteur neuve

Muni d’un entonnoir, mettez l’huile neuve dans le réservoir. Veillez à ne pas trop remplir le réservoir d’huile. Après que vous avez versé l’huile nécessaire, refermez tout simplement le bouchon de remplissage.

8. Jeter un coup d’œil sur le niveau de l’huile

Si vous voulez vérifier le niveau d’huile, il faut démarrer le moteur. Lorsque celui-ci est bien chauffé, regardez le niveau en utilisant la jauge. Vous pouvez alors ajouter de l’huile pour atteindre le bon niveau si ce n’est pas encore le cas.

L’indispensable permis de conduire

Tous les conducteurs auto doivent être en possession d’un permis de conduire. C’est le document administratif qu’on doit avoir constamment avec soi. Autrement, sans un permis de conduire lorsqu’on est au volant d’une voiture, on peut écoper d’une amende de 15 000 euros et d’une peine d’emprisonnement allant jusqu’à 12 mois. Il faut aussi savoir que lorsqu’un conducteur est au volant de sa voiture, une copie de son permis n’est pas acceptée. Il est exigé de lui qu’il soit en possession de son permis de conduire original ou d’un duplicata.

Par ailleurs, si le conducteur conduit une automobile d’une certaine catégorie, comme un poids lourd, un véhicule de plus de 9 places, etc., son permis doit justifier qu’il a la capacité de conduire ce genre de voiture. Par exemple, si le conducteur prend le volant d’un véhicule transportant plus de 9 personnes, il doit être en possession d’un permis D. Le permis B est affecté aux véhicules de tourisme comme les citadines, les familiales, les SUV, etc. Si le conducteur prend le volant d’un camion, il doit être en possession d’un permis C.

Le certificat d’immatriculation ou la carte grise

La carte grise aussi appelée carte d’immatriculation est un document administratif automobile qu’on exige du conducteur s’il fait face à un contrôle sur la route. Ce document est une pièce administrative qui permet de faire l’identification de la voiture. En effet, sur tout le territoire français, il est exigé que tous les véhicules ayant un PTAC supérieur à 500 kg soient immatriculés et doivent de ce fait avoir une carte grise. Et cela, que ce soit pour une voiture neuve ou d’occasion. Si la voiture n’en possède pas, le propriétaire n’a pas le droit de la conduire sous peine d’une amende et d’une mise en fourrière. Pour faire la demande d’un certificat d’immatriculation, il faut envoyer un courrier à la préfecture où le domicile du propriétaire est enregistré. Il faut en même temps prendre rendez-vous au sein de cette même organisation étatique et envoyer une autre demande à l’ANTS. Après accord de ces derniers, le propriétaire doit aussi faire une demande de certificat d’immatriculation au niveau d’un garagiste agréé dans la délivrance de ce type de document. Les demandes devront être accompagnées de la carte grise signée et barrée par l’ex-propriétaire de la voiture. À noter que la demande d’une nouvelle carte grise ne peut pas se faire si la déclaration de cession n’a pas été effectuée. Si vous êtes vendeur, cliquez ici pour une déclaration de cession. Il faut également joindre la CNI du nouveau propriétaire ainsi qu’une copie de ce document. Ces documents devront aussi être accompagnés du certificat de résidence du propriétaire, du certificat validant l’étape de contrôle technique ainsi que des fiches Cerfa n°13750*05 et 13 754*03 (seulement pour la préfecture) qui doivent être bien remplis.

La vignette de contrôle technique

Si une voiture a plus de 4 ans, il est obligatoire qu’elle passe par un contrôle technique. Par ailleurs, seules celles qui ont obtenu la vignette y afférente ont le droit de circuler sur route. C’est un document qui justifie que la voiture est en bon état de marche et qu’elle ne présente aucun souci mécanique. Mais aussi, qu’elle a effectué les contrôles techniques appropriés et qu’elle fonctionne bien, sans risque de détériorer l’environnement. En cas de non-possession d’une vignette à jour, la voiture peut être envoyée à la fourrière. Le conducteur peut aussi écoper d’une amende allant jusqu’à 750 euros.